Nul
besoin de revenir sur la rivalité exacerbée entre l'Angleterre et
l'Argentine, nourrie par la guerre des Malouines, et des épisodes
heureusement moins meurtriers comme la célèbrissime main de Maradona en
1986. A l'image de l'antagonisme qui existe entre la France et
l'Allemagne pour des raisons autant historiques que sportives, les duels
entre les deux nations ont toujours senti la poudre et atteint des
sommets dans l'intensité et la dramaturgie. Le huitième de finale
disputé à Geoffroy-Guichard le 30 juin 1998, resté dans toutes les
mémoires comme le plus grand match du Mondial français (même si la
demi-finale entre le Brésil et les Pays-Bas fut de toute beauté), ne
fait pas exception à la règle.jeudi 27 septembre 2012
Angleterre-Argentine 98: coup de chaud sur Geoffroy
Nul
besoin de revenir sur la rivalité exacerbée entre l'Angleterre et
l'Argentine, nourrie par la guerre des Malouines, et des épisodes
heureusement moins meurtriers comme la célèbrissime main de Maradona en
1986. A l'image de l'antagonisme qui existe entre la France et
l'Allemagne pour des raisons autant historiques que sportives, les duels
entre les deux nations ont toujours senti la poudre et atteint des
sommets dans l'intensité et la dramaturgie. Le huitième de finale
disputé à Geoffroy-Guichard le 30 juin 1998, resté dans toutes les
mémoires comme le plus grand match du Mondial français (même si la
demi-finale entre le Brésil et les Pays-Bas fut de toute beauté), ne
fait pas exception à la règle.samedi 22 septembre 2012
Etoile Rouge de Belgrade 91: du talent à revendre
Avant
la refonte de la C1 en 1992 et l'arrêt Bosman de 1995, certains clubs
d'Europe de l'Est parvenaient à tirer leur épingle du jeu dans les
compétitions européennes et à faire la nique aux grosses cylindrées
occidentales. En 1986, le Steaua Bucarest de Duckadam,
Balint et Lacatus, s'offre le scalp du Barça en finale de la Coupe
d'Europe des Clubs Champions à Séville. Trois ans plus tard, le club
roumain accède à nouveau à la finale grâce à l'émergence de jeunes
joueurs comme Dan Petrescu et Gheorghe Hagi. jeudi 13 septembre 2012
Davor Suker, en rouge et blanc
Joueur
au parcours assez particulier, Davor Suker, qui fut l'un des attaquants
les plus efficaces de sa génération, a davantage marqué les esprits par
ses performances sous le maillot croate que sous ceux des divers clubs
qu'il a fréquentés. Sur le plan statistique, il n'a réussi qu'une seule
grande saison dans une grande équipe, à savoir celle qui suivit l'Euro
96, lors de laquelle il planta un paquet de pions pour le Real Madrid.
Vainqueur de la Champions League en 1998, il ne joue que quelques
minutes de la finale contre la Juventus, se faisant voler la vedette par
son compère d'attaque Pedrag Mijatovic, unique buteur de la rencontre.
dimanche 2 septembre 2012
Top 10: les oubliés des Bleus
Nous avions consacré il y a quelques temps un papier à ce que nous avions appelé "les Bleus improbables",
c'est-à-dire à ces tâcherons quelconques qui n'auraient jamais dû avoir
l'honneur de revêtir la tunique bleue frappée du coq. Article-miroir,
celui-ci s'arrête sur dix excellents joueurs qui, pour des raisons
diverses et variées (forte concurrence au poste, Raymond Domenech,
manque de médiatisation du club entre autres), n'ont jamais porté le
maillot de l'équipe de France, ne serait-ce que pour un match amical en
bois. On ne peut guère dire qu'il s'agisse là d'un scandale manifeste
pour les types concernés, mais il est certain que tous auraient mérité
leur chance à un moment ou à un autre, d'autant que les heureux élus
sélectionnés à leur place furent loin d'être toujours indispensables.
Sur les dix joueurs retenus ici (ils l'auront été au moins une fois),
trois sont encore en activité mais ne fouleront certainement jamais les
terrains de Clairefontaine. Pour les autres, le train est déjà passé,
sans nécessairement d'ailleurs qu'ils en conçoivent une grande amertume.
Ils font partie de ces joueurs à qui la sélection s'est toujours
refusée, sans qu'il soit forcément possible d'expliquer pourquoi.
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