Autant
le dire d'emblée, la présence de Jürgen Klinsmann dans l'équipe
constituait l'une des rares raisons valables de se farcir les matches de
la Mannschaft dans les années 90 (le premier qui mentionne le nom de
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Mis à part Matthaus et Hässler et, à limite, Möller (combien
d'adolescents un brin dérangés ont accroché un poster d'Andreas la
meulette au mur de leur chambre?), le futur sélectionneur évoluait aux
côtés d'inconditionnels de Schiller et Heine tels que Köhler, Buchwald,
Berthold, Reuter, Strunz ou encore l'inénarrable Effenberg.