En 1992,
double ironie du sort, le Danemark est devenu champion d'Europe alors
qu'il n'était pas censé participer à la compétition, et sans le meilleur
joueur de l'histoire du pays, Michael Laudrup. A la suite d'une
brouille avec le sélectionneur Moller Nielsen, le joueur, alors au
sommet de son art, refusa de rejoindre la sélection, suivant de loin le
parcours de la bande menée par son frangin Brian, à jamais la première à
décrocher un titre pour les rouge et blanc.dimanche 24 avril 2011
Michael Laudrup, le stratège
En 1992,
double ironie du sort, le Danemark est devenu champion d'Europe alors
qu'il n'était pas censé participer à la compétition, et sans le meilleur
joueur de l'histoire du pays, Michael Laudrup. A la suite d'une
brouille avec le sélectionneur Moller Nielsen, le joueur, alors au
sommet de son art, refusa de rejoindre la sélection, suivant de loin le
parcours de la bande menée par son frangin Brian, à jamais la première à
décrocher un titre pour les rouge et blanc.vendredi 22 avril 2011
PSG: une histoire de Coupe
Le
14 mai prochain face à Lille, le Paris Saint Germain disputera la
douzième finale de Coupe de France de son histoire, et la neuvième
depuis 1993. Créé en 1970, le club a déjà gagné la compétition à huit
reprises et occupe la deuxième place au palmarès devant Saint-Etienne,
Monaco, Bordeaux ou Nantes. Seul Marseille fait mieux avec dix titres,
mais le dernier en date remonte tout de même à 1989. Même quand le
PSG traverse des crises et des saisons pourries dont il a le secret,
même quand il termine totalement à la rue en championnat, il trouve
souvent les ressources pour se qualifier pour le dernier match de la
vénérable épreuve et, la plupart du temps, pour le gagner. Cette
stupéfiante régularité, maintenue malgré les soubresauts qui agitent
régulièrement le club, a valu à Paris la réputation sans doute justifiée
d'équipe de coupe. Retour en détail sur les huit finales jouées par les
Parisiens depuis 1993.dimanche 17 avril 2011
Top 10: buteurs oubliés
Ces joueu
rs-là
ne s'appellent pas Raul, Shearer, Batistuta ou Anderson. Pour la
plupart, ils ne comptent au mieux qu'une poignée de sélections et ont
rarement eu la chance de disputer un tournoi international ou la
Champions League. Pourtant, ils possèdent tous un point commun que
peuvent leur envier beaucoup d'attaquants: ils ont tous à un moment ou
l'autre lors de ces vingt dernières années terminé meilleur buteur de
l'un des cinq championnats européens majeurs. Parfois plombées par les
blessures ou les mauvais choix, leurs carrières ont également souffert
de l'anonymat des équipes dont ils ont porté les couleurs. Que justice
soit rendue ici à ses buteurs oubliés, qui sont parvenus ne serait-ce
que l'espace d'une saison à faire la nique aux grandes stars du football
européen.
rs-là
ne s'appellent pas Raul, Shearer, Batistuta ou Anderson. Pour la
plupart, ils ne comptent au mieux qu'une poignée de sélections et ont
rarement eu la chance de disputer un tournoi international ou la
Champions League. Pourtant, ils possèdent tous un point commun que
peuvent leur envier beaucoup d'attaquants: ils ont tous à un moment ou
l'autre lors de ces vingt dernières années terminé meilleur buteur de
l'un des cinq championnats européens majeurs. Parfois plombées par les
blessures ou les mauvais choix, leurs carrières ont également souffert
de l'anonymat des équipes dont ils ont porté les couleurs. Que justice
soit rendue ici à ses buteurs oubliés, qui sont parvenus ne serait-ce
que l'espace d'une saison à faire la nique aux grandes stars du football
européen.vendredi 15 avril 2011
MU-Arsenal 2004: la fin des invincibles
Sacrés
champions la saison précédente sans concéder la moindre défaite, les
invincibles d'Arsenal poursuivent leur incroyable série lors de
l'exercice 2004-2005, qu'ils démarrent en trombe. Après neuf journées,
les Gunners, qui n'ont laissé que deux points en route et ont déjà
remporté huit matches, semblent inarrêtables et lancés sur la voie d'un
nouveau titre. Ils comptent cinq points d'avance sur Chelsea, puissance
émergente qui vient d'engager Jose Mourinho, et onze sur Manchester
United, autant dire un gouffre au quart de la compétition. jeudi 14 avril 2011
Cafu, l'inépuisable
Avant
tout réputé pour la qualité de ses techniciens et dribbleurs, le Brésil
a toujours produit des arrières latéraux d'exception, de Nilton Santos à
Maicon en passant par Junior, Jorginho et Roberto Carlos.
Traditionnellement, le rôle du latéral brésilien s'apparente à celui de
milieu excentré, voire carrément d'ailier en cas de forte domination
territoriale. Chargé d'apporter sa vitesse et le surnombre sur le flanc,
ainsi que de venir dédoubler sur les phases de possession, il brille
généralement davantage par ses talents d'attaquant que par ses qualités
défensives.
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