Patrie
de certains des plus grands artistes de l'histoire du football mondial
dont il semble superflu de rappeler les noms, l'Argentine a également
produit nombre de défenseurs de grande classe pour le moins généreux
dans le contact, de Daniel Passarella à Oscar Ruggeri en passant par
Nestor Sensini ou Javier Zanetti. Roberto Ayala, arrière central
dominant au sommet de sa forme au début des années 2000, s'inscrit
pleinement dans cette grande tradition des défenseurs argentins, rugueux
et durs sur l'homme, amateurs de duels et de combats rapprochés,
intraitables en un contre un et dotés d'une grande intelligence
tactique.samedi 26 février 2011
Roberto Ayala, le taulier argentin
Patrie
de certains des plus grands artistes de l'histoire du football mondial
dont il semble superflu de rappeler les noms, l'Argentine a également
produit nombre de défenseurs de grande classe pour le moins généreux
dans le contact, de Daniel Passarella à Oscar Ruggeri en passant par
Nestor Sensini ou Javier Zanetti. Roberto Ayala, arrière central
dominant au sommet de sa forme au début des années 2000, s'inscrit
pleinement dans cette grande tradition des défenseurs argentins, rugueux
et durs sur l'homme, amateurs de duels et de combats rapprochés,
intraitables en un contre un et dotés d'une grande intelligence
tactique.dimanche 20 février 2011
Portugal-Pays Bas 2006: cartons à gogo
Le 25
juin 2006, au Frankenstadion de Nuremberg, deux des favoris au titre
s'affrontent en huitièmes de finale du Mondial allemand, pour un match
qui constitue la principale affiche du second tour avec le choc qui
oppose la France à l'Espagne. Les deux équipes ont les dents longues et
sortent toutes deux invaincues d'un premier tour impeccable. samedi 19 février 2011
Fernando Morientes, héros discret
Parce qu'il a joué aux
côtés des plus grands attaquants au Real Madrid (Raul, Suker,
Mijatovic, Ronaldo), on tend trop souvent à oublier le rôle majeur
qu'a joué Fernando Morientes au sein d'une équipe qui a dominé
l'Europe au tournant des années 2000. Dans l'ombre des stars, ce
joueur aussi discret qu'efficace savait admirablement se mettre au
service du collectif et faire briller ses partenaires d'attaque.
Constituant un excellent point d'appui en pointe de par son gabarit
et la qualité exceptionnelle de son jeu aérien, Morientes causait
de gros soucis aux défenses adverses par sa finesse technique et la
justesse de son jeu en remise, qui lui permettaient de combiner à
merveille avec des attaquants plus mobiles.
Top 10: cartons rouges
Les exp
ulsions,
qu'elles soient justifiées ou non, font partie intégrante de l'histoire
du jeu et ont contribué à nourrir sa légende. Certains cartons rouges
ont changé le cours de grandes finales ou marqué au fer (rouge,
évidemment) la carrière de certains joueurs, tandis que d'autres n'ont
fait que confirmer la funeste réputation de leur destinataire. Suivant
les cas, les bannis de la pelouse sont soit des salopards, soit des
victimes, soit un incertain mélange des deux. Voici une sélection de
quelques-unes des biscottes fatales distribuées dans le football
international depuis 1986, quand de Jong et Barton commençaient à peine à
s'entraîner sur les tibias de leurs petits camarades à la maternelle.
ulsions,
qu'elles soient justifiées ou non, font partie intégrante de l'histoire
du jeu et ont contribué à nourrir sa légende. Certains cartons rouges
ont changé le cours de grandes finales ou marqué au fer (rouge,
évidemment) la carrière de certains joueurs, tandis que d'autres n'ont
fait que confirmer la funeste réputation de leur destinataire. Suivant
les cas, les bannis de la pelouse sont soit des salopards, soit des
victimes, soit un incertain mélange des deux. Voici une sélection de
quelques-unes des biscottes fatales distribuées dans le football
international depuis 1986, quand de Jong et Barton commençaient à peine à
s'entraîner sur les tibias de leurs petits camarades à la maternelle.dimanche 6 février 2011
France-Israël 93: la répétition générale
Le
13 octobre 1993, la France reçoit Israël pour le compte de
l'avant-dernière journée de la phase de qualifications pour la Coupe du
Monde 1994. Après son nul estival en terre suédoise et sa victoire en
Finlande, un point suffit aux Bleus, absents du Mondiale italien, pour
valider leur ticket pour les Etats-Unis. A priori, une formalité pour
les joueurs de Gérard Houiller, qui en ont collé quatre à leurs
adversaires du jour à Tel-Aviv en février, également étrillés 5-0 par
les Suédois à Stockholm.
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