
jeudi 27 décembre 2012
Le bilan 2012

samedi 15 décembre 2012
Michael Ballack, le titan teuton

jeudi 13 décembre 2012
La France et les artistes

mercredi 21 novembre 2012
Riquelme, le playmaker

samedi 20 octobre 2012
Benzema, tireur isolé

jeudi 18 octobre 2012
Roumanie-France 95: le premier pas

samedi 13 octobre 2012
Jari Litmanen, le Finlandais volant
Vainqueur
puis finaliste de la Champions League avec l'Ajax Amsterdam au milieu
des années 90, Jari Litmanen aurait pu se voir décerner le Ballon d'Or,
qu'il méritait largement autant que Weah ou Sammer. Au-dessus du lot
techniquement, efficace dans les dix-huit mètres adverses et tourné vers
le collectif (mentalité made in Ajax oblige), Litmanen n'était ni un
véritable avant-centre ni un meneur de jeu, mais aimait évoluer entre le
milieu et l'attaque et faire parler son flair et son sens du jeu. S'il
marquait beaucoup, il savait faire bonne usage de la chique et ne tirait
jamais la couverture à lui, ce qui l'a peut être desservi à l'heure des
votes pour l'attribution des récompenses individuelles.
mardi 2 octobre 2012
Sol Campbell, l'intimidateur
Pilier
de la défense anglaise pendant dix ans, Sol Campbell, comme Thuram et
Stam, autres nettoyeurs de surfaces de l'époque, correspond parfaitement
à l'idée que l'on peut se faire du stoppeur de haut niveau: athlétique,
physiquement intimidant, monstrueux dans les duels, performant dans le
jeu aérien, tacleur redoutable. Avec lui, l'entraîneur savait que
l'avant-centre adverse n'aurait pas la partie facile et que les tâches
défensives seraient assurées avec sérieux, et qu'il ne restait plus qu'à
l'associer à un libero plus à l'aise balle au pied et dans la relance
pour former une paire axiale complémentaire.
jeudi 27 septembre 2012
Angleterre-Argentine 98: coup de chaud sur Geoffroy

samedi 22 septembre 2012
Etoile Rouge de Belgrade 91: du talent à revendre

jeudi 13 septembre 2012
Davor Suker, en rouge et blanc
Joueur
au parcours assez particulier, Davor Suker, qui fut l'un des attaquants
les plus efficaces de sa génération, a davantage marqué les esprits par
ses performances sous le maillot croate que sous ceux des divers clubs
qu'il a fréquentés. Sur le plan statistique, il n'a réussi qu'une seule
grande saison dans une grande équipe, à savoir celle qui suivit l'Euro
96, lors de laquelle il planta un paquet de pions pour le Real Madrid.
Vainqueur de la Champions League en 1998, il ne joue que quelques
minutes de la finale contre la Juventus, se faisant voler la vedette par
son compère d'attaque Pedrag Mijatovic, unique buteur de la rencontre.
dimanche 2 septembre 2012
Top 10: les oubliés des Bleus

dimanche 26 août 2012
Top 10: les fidèles

mardi 5 juin 2012
Fernando Hierro, l'indéboulonnable
Lorsque
l'on évoque les meilleurs joueurs espagnols de ces vingt dernières
années (pour la simple et bonne raison que l'on a que ça à faire en
attendant l'apocalypse qui ne saurait désormais tarder), les noms de
Raul, Xavi ou de Luis Enrique viennent plus naturellement à l'esprit que
celui de Fernando Hierro. Pourtant, ce joueur au profil atypique fut
pendant près de quinze ans l'un des piliers du Real Madrid, avec lequel
il s'est forgé un palmarès long comme le bras, et de la sélection
nationale.
vendredi 11 mai 2012
Luis Enrique, cent pour cent Liga
Luis Enrique, comme Raul, Morientes ou Hierro,
appartient à cette remarquable génération de joueurs ibériques qui
aurait sans douté mérité d'offrir à l'Espagne son premier titre
international. Chacune des trois Coupes du Monde qu'il a disputées se
sont terminées de façon douloureuse. En 1994, en quart de finale de la
World Cup américaine, il reçut un violent coup de coude du très
oubliable Mauro Tassotti et perdit un demi-litre de sang, et
accessoirement le match. En 1998, la sélection espagnole se fit sortir
dès le premier tour, à cause notamment d'une boulette mémorable de
Zubizarreta contre le Nigeria. Enfin, en 2002, alors qu'elle semblait
armée pour aller au bout, l'équipe de Camacho fut victime d'un arbitrage
maison qui permit à la Corée du Sud de se qualifier.
mardi 1 mai 2012
Juve-MU 99: avant Barcelone

vendredi 27 avril 2012
Edwin Van der Sar, le faux timide
Jusqu'au
bout de son immense carrière, à laquelle il mit un terme à quarante
berges et des poussières après une défaite en finale européenne contre
le Barça en mai 2011, Edwin van der Sar aura eu l'air d'un adolescent
dégingandé. A un poste où la coordination est aussi essentielle que
derrière une batterie, il donnait le sentiment de ne pas toujours savoir
que faire d'un corps trop long et de membres démesurés. En dehors de sa
taille, rien a priori n'impressionnait chez le portier hollandais, grande tige que le moindre choc semblait devoir briser.
vendredi 13 avril 2012
Top 10: gardiens étrangers en France
On par
le
beaucoup depuis le début de la saison des prestations de Salvatore
Sirigu, l'excellent gardien italien du PSG, et de celles de Guillermo
Ochoa, l'international mexicain d'Ajaccio. La France ayant toujours
produit d'excellents portiers, les clubs ne ressentent pas
nécessairement le besoin d'aller voir ailleurs, comme ils peuvent le
faire pour les joueurs de champ. Depuis le début de l'ère
professionnelle, les cadors de l'hexagone ont presque exclusivement
aligné des derniers remparts du cru, de Joël Bats à Fabien Barthez en
passant par Bernard Lama, Jean-Luc Ettori ou Mickaël Landreau. Pourtant,
quelques gardiens étrangers ont marqué l'histoire du championnat et ont
réussi d'une manière ou d'une autre à laisser une trace, par leur
niveau de performance, leur régularité, leur excentricité parfois.Venus
d'Afrique, d'Amérique du Sud ou d'Europe de l'Est, ils sont parvenus à
faire leur trou dans un pays ou la densité et le niveau général au poste
n'ont pas d'équivalent sur le continent, exception faite peut-être de
l'Italie.

mercredi 11 avril 2012
Pays Bas-Italie 2000: une histoire de pénos

jeudi 5 avril 2012
Hristo Stoichkov, comédien-buteur

vendredi 9 mars 2012
Alan Shearer, la machine à marquer

dimanche 26 février 2012
Liverpool-Olympiakos 2004: Gerrard, ce héros

vendredi 10 février 2012
Pavel Nedved, l'homme à tout faire

mercredi 25 janvier 2012
Top 10: gâchis du foot français
Nombre
de
bons joueurs s'égarent en chemin, nombre de trajectoires annoncées
brillantes se perdent dans l'échec et l'anonymat, et la proportion de
talents gâchés n'a fait qu'augmenter avec l'avènement du libéralisme
sportif, qui a favorisé la mobilité et impitoyablement broyé des
carrières dans l'oeuf. La Pause Cigare propose de s'arrêter sur dix
véritables surdoués qui, à des degrés divers, n'ont pas confirmé les
espoirs placés en eux, à cause de la poisse, de mauvais choix, par
manque d'ambition ou de solidité mentale. Ces types-là avaient tout pour
eux (la jeunesse, des qualités remarquables, un début de carrière
réussi et prometteur) et ne sont jamais devenus les cadors qu'ils
auraient dû être. On s'en trouve attristés pour certains, classieux et
dilettante, beaucoup moins pour d'autres, qui se sont pris pour
quelqu'un d'autre et ont payé au prix fort leur arrogance et leur
entêtement.
jeudi 12 janvier 2012
Experts et guignols
En Grand
e-Bretagne,
pays que nombre de compatriotes ne manquent jamais une occasion de
railler (il est vrai que nous autres nageons dans la félicité grâce à
l'euro), on considère la chose footballistique comme il se doit: avec
passion, sérieux et humour. Les gens n'y ont guère honte de se déclarer
footophiles, tant le ballon rond et le sport de manière générale font
partie intégrante du quotidien et de la culture et intéressent toutes
les classes sociales.

mardi 3 janvier 2012
Argentine-Colombie 93: les toqués du toque

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