Alors qu'il n'était jamais resté plus de deux matches consécutifs sans marquer sous le maillot parisien (sans pour autant, notons-le au passage, échapper aux critiques récurrentes quant à sa "motivation" ou son "investissement"), Zlatan Ibrahimovic n'a toujours pas trouvé le chemin des filets après trois journées. Incontestablement, d'après tous les spécialistes dont la compétence ne saurait être remise en cause, il a donc raté son début de saison. Dans le football dit moderne, tout n'est qu'affaire de statistiques et de chiffres, et quand un buteur ne marque pas, on peut tranquillement affirmer qu'il ne sert à rien.
mardi 27 août 2013
lundi 26 août 2013
La Juve indétrônable?
Double championne d'Italie en titre, la Juventus a outrageusement dominé la Serie A la saison dernière (87 points, 27 victoires, 24 buts encaissés), laissant la concurrence à une distance plus que respectable, le Napoli et le Milan ayant respectivement terminé à neuf et quinze unités de la Vieille Dame. Au vu des forces en présence en ce début d'exercice, personne ne semble en mesure de contester la suprématie des bianconeri et d'empêcher les hommes d'Antonio Conte de remporter un troisième Scudetto consécutif. Il existe même de sérieuses raisons de considérer que l'écart entre la Juventus pourrait continuer à ce creuser, à tel point que les pseudo-outsiders semblent condamnés à viser les places d'honneur.
mercredi 21 août 2013
Arsenal à la traîne

mercredi 14 août 2013
City, changement de décor
S'il n'est jamais facile de digérer un titre, d'autant plus quand on le remporte à la dernière seconde du dernier match après quarante-cinq ans d'attente, la saison 2012-2013 de City fut celle de toutes les déceptions: une deuxième place en championnat à onze points d'un United pourtant guère flamboyant, une seconde élimination consécutive au premier tour de la Champions League et, pour couronner le tout, une embarrassante défaite en finale de la Cup contre Wigan qui a dû se faire gondoler les habitués d'Old Trafford.
Malgré sa cote de popularité auprès des supporters, Roberto Mancini a pris la lourde, mais il faut moins voir dans son limogeage une sanction qu'un réel changement de philosophie, la métamorphose au sein du club ayant déjà débuté avec les nominations de Ferran Soriano, ancien vice-président du Barça, au poste de directeur exécutif, et de Begiristain à celui de directeur technique.
Malgré sa cote de popularité auprès des supporters, Roberto Mancini a pris la lourde, mais il faut moins voir dans son limogeage une sanction qu'un réel changement de philosophie, la métamorphose au sein du club ayant déjà débuté avec les nominations de Ferran Soriano, ancien vice-président du Barça, au poste de directeur exécutif, et de Begiristain à celui de directeur technique.
vendredi 9 août 2013
Ligue 1: dix joueurs à suivre
Vincent Aboubakar (Lorient, attaquant, 21 ans, Cameroun)
mercredi 24 juillet 2013
Parme, ex-star des nineties
lundi 8 juillet 2013
Allemagne 2002: au bout de l'absurde
A l'heure d'attaquer son Mondial 2002, la Mannschaft traverse l'une des plus mauvaises passes de son histoire. Quatre ans plus tôt en France, elle s'était faite littéralement humilier en quart de finale par la Croatie (0-3), un adversaire joueur et sans complexes qui lui avait infligé sa plus lourde défaite en Coupe du Monde depuis 1954. Lors de l'Euro 2000, battue par l'Angleterre et le Portugal, l'Allemagne termine dernière de son groupe avec un petit point arraché à la Roumanie. Enfin, quelques mois avant le rendez-vous asiatique, elle connaît à Munich une défaite historique face au meilleur ennemi anglais (1-5) dans le cadre des éliminatoires.
Logiquement, la Mannschaft, triple championne du monde, ne fait pour une fois pas partie des principaux favoris du tournoi, parmi lesquels se trouvent fréquemment cités la France, l'Argentine et le Brésil et, un cran en-dessous, l'Italie, l'Espagne, l'Angleterre et le Portugal. Elle va pourtant profiter de circonstances très favorables (groupe tranquille, hécatombe ahurissante au premier tour, bienveillance arbitrale vis-à-vis de la Corée du Sud face à l'Italie et l'Espagne) pour se hisser jusqu'en finale, ratant de peu le parfait hold-up.
dimanche 7 juillet 2013
Leeds-La Corogne 2001: une demie pour le gang
Moins habituée à faire la une des journaux que les grosses cylindrées de Premier League, l'équipe de Leeds United, huit ans après avoir révélé Cantona à l'Angleterre, bouscule à nouveau la hiérarchie en se classant troisième du championnat devant Liverpool et Chelsea. Les joueurs du toujours impeccable David O'Leary, également demi-finalistes en Coupe UEFA (ils sont éliminés par le futur vainqueur Galatasaray après avoir sorti le Spartak et la Roma), permettent au club de jouer dans la cour des grands et de se qualifier pour la Champions League.
vendredi 5 juillet 2013
Monaco-Real 2004: le point d'orgue
mardi 2 juillet 2013
Top 10: duos d'attaque
Gullit-Van Basten (Milan AC 1987-1993, Pays-Bas 1983-1992)
Tous deux lauréats du Ballon d'Or, ces deux joyaux du football néerlandais ont, en compagnie d'un troisième larron nommé Frank Rijkaard, permis à la sélection orange et au Milan AC de dominer l'Europe à la fin des années 80. Réunis sous le maillot rossonero en 1987, le rasta surinamien, révélé au PSV, et l'aristocrate des surfaces, produit de l'Ajax, remportent deux fois consécutivement la Coupe d'Europe des Clubs Champions en 1989 et 1990 et trois Scudetti en 1988, 1992 et 1993. Si Gullit, qui évolue légèrement en retrait de son partenaire, marque en moyenne deux fois moins que le grand Marco (120 buts pour Van Basten avec le Milan AC, 60 pour Gullit), l'entente et la complicité technique entre les deux joueurs fait merveille.
Indétrônables leaders d'attaque de leur sélection pendant une décennie, Ruud Gullit (66 sélections, 17 buts) et Marco Van Basten (58 sélections, 24 buts) furent les principaux artisans de ce qui reste à ce jour le seul titre jamais gagné par les Pays-Bas, l'Euro 88 en Allemagne, succès historique parachevé par une reprise de légende signée de l'avant-centre hollandais en finale face à l'URSS. La seule Coupe du Monde qu'ils disputèrent ensemble en 1990 se solda par une élimination en huitième de finale contre l'Allemagne. Evidemment.
jeudi 27 juin 2013
Ruud van Nistelrooy, la balle au fond
Aussi surprenant que cela puisse paraître quand on connaît la suite pour le moins prolifique du parcours du buteur néerlandais, c'est en tant que milieu de terrain que Ruud van Nistelrooy débute sa carrière professionnelle en seconde division, sous le maillot de Den Bosch. Une fois replacé en pointe, le bonhomme fait preuve d'une efficacité et d'un sens inné du but qui le propulseront parmi les tout meilleurs attaquants des années 2000.
Ses qualités de finisseur lui vaudront de terminer meilleur réalisateur de trois championnats différents, d'occuper à ce jour la troisième place du classement des buteurs de l'histoire de la Champions League derrière Raul et Messi (56 buts en 81 matches) et de se hisser sur le podium des planteurs de pions de la sélection néerlandaise malgré une histoire plutôt compliquée avec le maillot orange.
Ses qualités de finisseur lui vaudront de terminer meilleur réalisateur de trois championnats différents, d'occuper à ce jour la troisième place du classement des buteurs de l'histoire de la Champions League derrière Raul et Messi (56 buts en 81 matches) et de se hisser sur le podium des planteurs de pions de la sélection néerlandaise malgré une histoire plutôt compliquée avec le maillot orange.
dimanche 9 juin 2013
Inter-Arsenal 2003: Henry superstar
Arsenal,
régulièrement présent en Champions League depuis l'arrivée sur le banc
de Wenger en 1996, n'a pas l'habitude de prendre la porte au premier
tour. Pourtant, en ce jour du 25 novembre 2003, la menace d'élimination
est bien réelle pour les Gunners, qui n'ont pris qu'un point en trois
rencontres face à leurs adversaires du groupe (Lokomotiv Moscou, Inter
Milan et Dinamo Kiev) et doivent obligatoirement l'emporter à Giuseppe
Meazza pour s'ouvrir la porte des huitièmes.
Pour ce match capital, le manager français se voit privé de quatre titulaires réguliers, à savoir Vieira, Keown, Wiltord et Lauren: pas franchement rassurant à l'heure d'affronter une équipe de l'Inter qui avait parfaitement maîtrisé le match aller et éteint Highbury en une mi-temps (victoire 3-0 grâce à des buts signés Cruz, Van der Meyde et Martins).
Pour ce match capital, le manager français se voit privé de quatre titulaires réguliers, à savoir Vieira, Keown, Wiltord et Lauren: pas franchement rassurant à l'heure d'affronter une équipe de l'Inter qui avait parfaitement maîtrisé le match aller et éteint Highbury en une mi-temps (victoire 3-0 grâce à des buts signés Cruz, Van der Meyde et Martins).
mercredi 15 mai 2013
Leverkusen-Nantes 95: scénario catastrophe
A trois
mois
du terme du championnat et à l'heure d'aborder les quarts de finale de
la Coupe UEFA, le FC Nantes s'est déjà quasiment assuré le titre.
Tranquille leader avec une marge confortable sur un PSG qu'il a corrigé
au Parc en janvier, les joueurs de Suaudeau n'ont pas connu la défaite
et régalent spectateurs et observateurs par la géométrie enchanteresse
de leur jeu collectif, fondé sur le mouvement et la disponibilité. Même
si quelques cadors restent en course dans la compétition (Parme,
Juventus, Lazio, Dortmund), il n'est guère aberrant d'estimer que le
futur champion de France, bardé de certitudes et en pleine confiance,
peut faire mieux que tirer son épingle du jeu sur la scène européenne
et, pourquoi pas, devenir la première équipe française à s'adjuger
l'UEFA.

mercredi 1 mai 2013
Raùl, exemplaire unique

Même s'il
convient de ne pas accorder trop d'importance à une récompense
individuelle sur laquelle certains choix discutables ont à plusieurs
reprises jeté le discrédit, si un joueur méritait de succéder à Luis
Suarez, distingué en 1960, c'est bien Raúl Gonzalez Blanco, sans doute
le meilleur attaquant que l'Espagne ait jamais produit, devant les
Butragueno, Morientes et Villa. En seize saisons au Real Madrid, Raúl a
planté 230 buts en Liga (soit une moyenne supérieure à 14 pions) et
signé huit exercices à plus de quinze pions, avec une pointe à 25 unités
en 1998-99.
lundi 15 avril 2013
Top 10: attaquants africains en France
Si
quelques défenseurs issus du même continent se sont illustrés en
première division, l'Afrique a toujours été une grande pourvoyeuse de
talents offensifs pour le championnat de France. Nombre d'attaquants
africains ont émerveillé le football hexagonal par leur vitesse, leur
sens du dribble, leur puissance physique ou leur adresse devant les
cages. Certains ont connu la réussite dans d'autres championnats par la
suite, d'autres ont fait l'intégralité de leur carrière dans des clubs
plus ou moins prestigieux de Division 1 (aujourd'hui un Bocandé
signerait un gros contrat en Premier League avec son titre de meilleur
buteur), mais tous ont marqué les mémoires d'une manière ou d'une autre.
Nous avons choisi ici de ne considérer que les joueurs issus de
l'Afrique subsaharienne (il faudrait consacrer une sélection de ce genre
aux grands attaquants maghrébins qui ont joué en France) et d'éliminer
d'emblée les buteurs toujours en activité, parmi lesquels Didier Drogba,
Mamadou Niang, Gervinho ou John Utaka, ainsi que ceux qui bénéficient
de la double nationalité, comme Roger Boli, franco-ivoirien, ou Frédéric
Kanouté, franco-malien. On notera l'absence d'Ibrahima Bakayoko et
Mamadou Samassa, que nous gardons sous le coude pour d'autres papiers.
vendredi 22 mars 2013
Alessandro Nesta, le fuoriclasse

dimanche 24 février 2013
Larqué, le foot à papa

vendredi 15 février 2013
Rai, le Brésil sobre

mercredi 23 janvier 2013
Gabriel Batistuta, l'homme-but

jeudi 10 janvier 2013
Valence-Lazio 2000: l'ogre mangé

mercredi 2 janvier 2013
Top 10: les inusables

jeudi 27 décembre 2012
Le bilan 2012

samedi 15 décembre 2012
Michael Ballack, le titan teuton

jeudi 13 décembre 2012
La France et les artistes

mercredi 21 novembre 2012
Riquelme, le playmaker

samedi 20 octobre 2012
Benzema, tireur isolé

jeudi 18 octobre 2012
Roumanie-France 95: le premier pas

samedi 13 octobre 2012
Jari Litmanen, le Finlandais volant
Vainqueur
puis finaliste de la Champions League avec l'Ajax Amsterdam au milieu
des années 90, Jari Litmanen aurait pu se voir décerner le Ballon d'Or,
qu'il méritait largement autant que Weah ou Sammer. Au-dessus du lot
techniquement, efficace dans les dix-huit mètres adverses et tourné vers
le collectif (mentalité made in Ajax oblige), Litmanen n'était ni un
véritable avant-centre ni un meneur de jeu, mais aimait évoluer entre le
milieu et l'attaque et faire parler son flair et son sens du jeu. S'il
marquait beaucoup, il savait faire bonne usage de la chique et ne tirait
jamais la couverture à lui, ce qui l'a peut être desservi à l'heure des
votes pour l'attribution des récompenses individuelles.
mardi 2 octobre 2012
Sol Campbell, l'intimidateur
Pilier
de la défense anglaise pendant dix ans, Sol Campbell, comme Thuram et
Stam, autres nettoyeurs de surfaces de l'époque, correspond parfaitement
à l'idée que l'on peut se faire du stoppeur de haut niveau: athlétique,
physiquement intimidant, monstrueux dans les duels, performant dans le
jeu aérien, tacleur redoutable. Avec lui, l'entraîneur savait que
l'avant-centre adverse n'aurait pas la partie facile et que les tâches
défensives seraient assurées avec sérieux, et qu'il ne restait plus qu'à
l'associer à un libero plus à l'aise balle au pied et dans la relance
pour former une paire axiale complémentaire.
jeudi 27 septembre 2012
Angleterre-Argentine 98: coup de chaud sur Geoffroy

samedi 22 septembre 2012
Etoile Rouge de Belgrade 91: du talent à revendre

jeudi 13 septembre 2012
Davor Suker, en rouge et blanc
Joueur
au parcours assez particulier, Davor Suker, qui fut l'un des attaquants
les plus efficaces de sa génération, a davantage marqué les esprits par
ses performances sous le maillot croate que sous ceux des divers clubs
qu'il a fréquentés. Sur le plan statistique, il n'a réussi qu'une seule
grande saison dans une grande équipe, à savoir celle qui suivit l'Euro
96, lors de laquelle il planta un paquet de pions pour le Real Madrid.
Vainqueur de la Champions League en 1998, il ne joue que quelques
minutes de la finale contre la Juventus, se faisant voler la vedette par
son compère d'attaque Pedrag Mijatovic, unique buteur de la rencontre.
dimanche 2 septembre 2012
Top 10: les oubliés des Bleus

dimanche 26 août 2012
Top 10: les fidèles

mardi 5 juin 2012
Fernando Hierro, l'indéboulonnable
Lorsque
l'on évoque les meilleurs joueurs espagnols de ces vingt dernières
années (pour la simple et bonne raison que l'on a que ça à faire en
attendant l'apocalypse qui ne saurait désormais tarder), les noms de
Raul, Xavi ou de Luis Enrique viennent plus naturellement à l'esprit que
celui de Fernando Hierro. Pourtant, ce joueur au profil atypique fut
pendant près de quinze ans l'un des piliers du Real Madrid, avec lequel
il s'est forgé un palmarès long comme le bras, et de la sélection
nationale.
vendredi 11 mai 2012
Luis Enrique, cent pour cent Liga
Luis Enrique, comme Raul, Morientes ou Hierro,
appartient à cette remarquable génération de joueurs ibériques qui
aurait sans douté mérité d'offrir à l'Espagne son premier titre
international. Chacune des trois Coupes du Monde qu'il a disputées se
sont terminées de façon douloureuse. En 1994, en quart de finale de la
World Cup américaine, il reçut un violent coup de coude du très
oubliable Mauro Tassotti et perdit un demi-litre de sang, et
accessoirement le match. En 1998, la sélection espagnole se fit sortir
dès le premier tour, à cause notamment d'une boulette mémorable de
Zubizarreta contre le Nigeria. Enfin, en 2002, alors qu'elle semblait
armée pour aller au bout, l'équipe de Camacho fut victime d'un arbitrage
maison qui permit à la Corée du Sud de se qualifier.
mardi 1 mai 2012
Juve-MU 99: avant Barcelone

vendredi 27 avril 2012
Edwin Van der Sar, le faux timide
Jusqu'au
bout de son immense carrière, à laquelle il mit un terme à quarante
berges et des poussières après une défaite en finale européenne contre
le Barça en mai 2011, Edwin van der Sar aura eu l'air d'un adolescent
dégingandé. A un poste où la coordination est aussi essentielle que
derrière une batterie, il donnait le sentiment de ne pas toujours savoir
que faire d'un corps trop long et de membres démesurés. En dehors de sa
taille, rien a priori n'impressionnait chez le portier hollandais, grande tige que le moindre choc semblait devoir briser.
vendredi 13 avril 2012
Top 10: gardiens étrangers en France
On par
le
beaucoup depuis le début de la saison des prestations de Salvatore
Sirigu, l'excellent gardien italien du PSG, et de celles de Guillermo
Ochoa, l'international mexicain d'Ajaccio. La France ayant toujours
produit d'excellents portiers, les clubs ne ressentent pas
nécessairement le besoin d'aller voir ailleurs, comme ils peuvent le
faire pour les joueurs de champ. Depuis le début de l'ère
professionnelle, les cadors de l'hexagone ont presque exclusivement
aligné des derniers remparts du cru, de Joël Bats à Fabien Barthez en
passant par Bernard Lama, Jean-Luc Ettori ou Mickaël Landreau. Pourtant,
quelques gardiens étrangers ont marqué l'histoire du championnat et ont
réussi d'une manière ou d'une autre à laisser une trace, par leur
niveau de performance, leur régularité, leur excentricité parfois.Venus
d'Afrique, d'Amérique du Sud ou d'Europe de l'Est, ils sont parvenus à
faire leur trou dans un pays ou la densité et le niveau général au poste
n'ont pas d'équivalent sur le continent, exception faite peut-être de
l'Italie.

mercredi 11 avril 2012
Pays Bas-Italie 2000: une histoire de pénos

jeudi 5 avril 2012
Hristo Stoichkov, comédien-buteur

vendredi 9 mars 2012
Alan Shearer, la machine à marquer

dimanche 26 février 2012
Liverpool-Olympiakos 2004: Gerrard, ce héros

vendredi 10 février 2012
Pavel Nedved, l'homme à tout faire

mercredi 25 janvier 2012
Top 10: gâchis du foot français
Nombre
de
bons joueurs s'égarent en chemin, nombre de trajectoires annoncées
brillantes se perdent dans l'échec et l'anonymat, et la proportion de
talents gâchés n'a fait qu'augmenter avec l'avènement du libéralisme
sportif, qui a favorisé la mobilité et impitoyablement broyé des
carrières dans l'oeuf. La Pause Cigare propose de s'arrêter sur dix
véritables surdoués qui, à des degrés divers, n'ont pas confirmé les
espoirs placés en eux, à cause de la poisse, de mauvais choix, par
manque d'ambition ou de solidité mentale. Ces types-là avaient tout pour
eux (la jeunesse, des qualités remarquables, un début de carrière
réussi et prometteur) et ne sont jamais devenus les cadors qu'ils
auraient dû être. On s'en trouve attristés pour certains, classieux et
dilettante, beaucoup moins pour d'autres, qui se sont pris pour
quelqu'un d'autre et ont payé au prix fort leur arrogance et leur
entêtement.
jeudi 12 janvier 2012
Experts et guignols
En Grand
e-Bretagne,
pays que nombre de compatriotes ne manquent jamais une occasion de
railler (il est vrai que nous autres nageons dans la félicité grâce à
l'euro), on considère la chose footballistique comme il se doit: avec
passion, sérieux et humour. Les gens n'y ont guère honte de se déclarer
footophiles, tant le ballon rond et le sport de manière générale font
partie intégrante du quotidien et de la culture et intéressent toutes
les classes sociales.

mardi 3 janvier 2012
Argentine-Colombie 93: les toqués du toque

mercredi 28 décembre 2011
Le bilan 2011

dimanche 18 décembre 2011
Jürgen Klinsmann, l'esprit voyageur
mercredi 14 décembre 2011
Le club des 200

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